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AMBASSADE DE LA FEDERATION DE RUSSIE EN REPUBLIQUE DU CONGO

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MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES
DE LA FEDERATION DE RUSSIE
BULLETIN DE PRESSE
Ø Le monde d’aujourd’hui est plus risqué que celui de la Seconde Guerre mondiale,
selon Lavrov
Ø Moscou a lancé la vaccination contre le coronavirus
Ø Avec l’Afrique «le travail a continué en dépit de la pandémie», assure le vice-ministre
russe des Affaires étrangères
Ø La Russie pourrait envoyer sa propre mission vers Vénus
Ø Partenariat avec l’Afrique: Sergueï Lavrov se livre dans une interview exclusive
Ø La Russie compte installer sa propre station 5G en 2023, sans aide extérieure
Ø L’OMS dit apprécier les efforts de la Russie pour développer le vaccin Spoutnik V
Ø «Une croissance vertigineuse»: Bloomberg reconnaît la domination de la Russie sur
le marché mondial du blé
Ø Moscou réagit aux tensions dans le Haut-Karabakh
AMBASSADE DE LA FEDERATION DE RUSSIE
EN REPUBLIQUE DU CONGO

Le monde d’aujourd’hui est plus risqué que celui de la Seconde Guerre mondiale, selon Lavrov
01.09.2020 – Sputnik
Lors d’une conférence organisée à l’Institut d’État des relations internationales de Moscou, le chef de
la diplomatie russe a constaté un plus grand nombre de risques dans le monde actuel que pendant la
Seconde Guerre mondiale. Selon lui, les États ne doivent pas «claquer des portes» et «lancer des
ultimatums», mais «chercher des compromis».
Le monde actuel comporte plus de menaces que celui de la Seconde Guerre mondiale, a déclaré le ministre
russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d’une conférence organisée ce 1er septembre à l’Institut
d’État des relations internationales de Moscou (MGIMO).
«Aujourd’hui, la situation dans le monde n’est certainement pas aussi sanglante que celle de la Seconde
Guerre mondiale, mais les risques sont bien plus nombreux et ils ne sont pas moins graves», estime-t-il.
Le ministre pointe notamment le terrorisme et la criminalité liée à la drogue qui font chaque année un très
grand nombre de morts, ainsi que les risques de prolifération des armes de destruction massive.
À la recherche de compromis
Ainsi, il dénonce la quasi-destruction par les États-Unis du système de dissuasion dans le contrôle des
armements et la mise en pratique de leurs principes «qui abaissent le seuil d’utilisation des armes nucléaires»
face à la volonté des groupes terroristes et criminels de s’emparer des technologies nucléaires et de celles pour
la création et l’utilisation d’autres types d’armes de destruction massive.
«Je crois qu’il est criminel de s’enfermer dans des “postions nationales”, de claquer des portes, de
déclarer que je ne communiquerai pas avec tel ou tel pays tant qu’il n’aura pas respecté l’ultimatum», ajoute
le chef de la diplomatie.
Selon Lavrov, cette situation est actuellement observée sur la scène internationale.
«Regardez quels problèmes se posent actuellement non seulement dans les relations entre la Russie et les
États-Unis, mais aussi dans les relations entre les États-Unis et la Chine», lance le ministre qui appelle à
«rechercher des compromis et un équilibre des intérêts».
Moscou a lancé la vaccination contre le coronavirus
09.09.2020 – Sputnik
Les premiers Moscovites ont commencé ce 9 septembre à se faire vacciner contre le coronavirus. La
vaccination a lieu dans le cadre des essais post-enregistrement du Spoutnik V, premier vaccin russe. Plus
de 35.000 demandes ont été déposées.
La vaccination contre le coronavirus a été lancée à Moscou dans le cadre des essais post-enregistrement
du vaccin russe Spoutnik V, premier élaboré dans le monde, a déclaré ce 9 septembre aux journalistes
Anastassia Rakova, adjointe au maire de la capitale russe pour les questions du développement social.
«Cela nous permettra de rapprocher la date de la mise à disposition du vaccin pour tout le monde. Les
premiers participants des essais ont été vaccinés aujourd’hui», a précisé Mme Rakova.
La vaccination est gratuite, la participation de 40.000 volontaires au total est nécessaire.
Selon l’adjointe au maire, le nombre de personnes qui souhaitent être vaccinées augmente chaque jour.
«La demande a déjà été déposée par plus de 35.000 Moscovites. Maintenant, dans la capitale, l’étude du
vaccin contre le Covid-19 est menée sur la base de six établissements médicaux. À l’avenir, leur nombre
passera à 20», a expliqué Mme Rakova.
Les deux étapes de l’injection
Elle a ajouté que le vaccin sera administré en deux étapes: le premier composant du vaccin sera injecté au
cours de la première étape et au bout de 21 jours la personne se verra administrée le second composant. Ils se
distinguent par les substances actives qui les composent, ce qui est fait pour renforcer la défense immunitaire.
Le professeur et directeur du département des arbovirus du Centre d’épidémiologie et de microbiologie
Gamaleïa, Alexandre Boutenko, a déclaré à Sputnik qu’au terme des essais cliniques du vaccin Spoutnik V,
les Russes recevront au moins deux types de ce médicament – un pour les enfants et un pour les adultes.
Le ministère russe de la Santé a annoncé le 7 septembre que le premier lot de vaccins russes
anticoronavirus Spoutnik V, développé par le Centre d’épidémiologie et de microbiologie Gamaleïa avec le
concours du Fonds russe d’investissements directs, a été produit et sera bientôt fourni aux régions russes.
Le 11 août, ce premier vaccin contre le Covid-19 au monde a été enregistré par le ministère russe de la
Santé.
Avec l’Afrique «le travail a continué en dépit de la pandémie», assure le vice-ministre russe
des Affaires étrangères
10.09.2020 – Sputnik
Afin de préparer le forum Russie-Afrique 2022, le secrétariat de l’événement a été ouvert à Moscou le
9 septembre en présence d’un grand nombre d’ambassadeurs de pays africains en Russie et de Mikhaïl
Bogdanov, vice-ministre russe des Affaires étrangères. Celui-ci a expliqué à Sputnik comment leur
coopération a pu se poursuivre durant la pandémie.
Tout le milieu russo-africain de Moscou s’est réuni le 9 septembre pour l’ouverture du secrétariat du
forum du partenariat Russie – Afrique. Un grand événement qui a permis de reparler de la coopération et du
travail accompli depuis le premier sommet à Sotchi en 2019, et pour mettre en évidence la préparation d’un
deuxième qui aura lieu en 2022, comme le confirment les organisateurs.
«La vie ne s’est pas arrêtée»
L’importance de l’événement a été soutenue par la présence d’un grand nombre d’ambassadeurs de pays
africains en Russie et de Mikhaïl Bogdanov, vice-ministre russe des Affaires étrangères et représentant spécial
du Président de la Fédération de Russie pour l’Afrique. En répondant à une question de Sputnik, M.Bogdanov
a souligné que malgré la pandémie, le travail avec ses partenaires africains se poursuivait.
«La vie ne s’est pas arrêtée dès que la pandémie de Covid-19 a commencé. Nous sommes restés en contact
étroit avec les dirigeants et les milieux économiques des pays africains. […] Honnêtement, au ministère des
Affaires étrangères, nous n’avons senti aucune pause. Les formes de travail ont peut-être changé. Avant, nous
nous déplacions plus souvent et nous nous rencontrions davantage. Toutefois, le nombre de documents et
d’envois n’a pas diminué et a peut-être même augmenté. Le nombre de contacts vidéo, audio et téléphoniques
a considérablement augmenté.»
Lavrov et la troïka africaine
Mikhaïl Bogdanov a mentionné que durant ces mois de restrictions, une rencontre des ministres des
Affaires étrangères par visioconférence avait été organisée dans le cadre de la mise en place des mécanismes de
coopération à l’issue du forum de Sotchi de 2019.
«J’entends par là des échanges au niveau des ministres, entre Sergueï Lavrov et ses homologues de la
troïka africaine. Au cours de ces entretiens a été abordée et discutée plus concrètement et précisément la mise
en place des projets dont il avait été question au sommet de Sotchi.»
Centrale nucléaire en Égypte et autres projets
Durant le sommet de Sotchi, selon les organisateurs, 92 contrats ont été signés en deux jours, le viceministre russe des Affaires étrangères se dit certain que le travail se poursuit même cette année en dépit de
certaines restrictions.
«Je pense à la construction de la centrale nucléaire en Égypte, d’autres projets de construction
d’infrastructures. […] Je pense aux contacts entre les ministères de la Santé et Rospotrebnadzor [Service
fédéral de surveillance de la protection des droits des consommateurs et du bien-être humain], entre médecins
russes et africains. Bien sûr, tous attendent les résultats des recherches que nos scientifiques mènent pour lutter
contre le coronavirus et d’autres maladies. Vous savez qu’en Guinée, il y a des hôpitaux construits par nos
spécialistes (je les ai moi-même visités) […], le ministère des Situations d’urgence a envoyé plusieurs avions
avec de l’aide humanitaire parce que certains pays sont en proie à différentes catastrophes, des incendies, des
inondations.»
Le prochain sommet aura lieu en 2022 et selon les organisateurs sa préparation est déjà en cours.
La Russie pourrait envoyer sa propre mission vers Vénus
15.09.2020 – Sputnik
L’agence spatiale russe Roscosmos a déclaré qu’outre le projet d’exploration de Vénus dans le cadre
d’une mission russo-américaine, elle prévoyait de lancer sa propre mission vers la planète dans le cadre d’un
programme d’État.
Dmitri Rogozine, directeur de l’agence spatiale russe Roscosmos, a annoncé l’élaboration d’une mission
purement russe vers Vénus dans le contexte de l’annonce de la découverte sur cette planète de biomarqueurs,
qui pourraient indiquer la présence d’une forme de vie.
«Notre programme prévoit le rétablissement de l’exploration de Vénus, le projet Venera-D en
collaboration avec les Américains. Nous envisageons également notre propre mission», a-t-il déclaré aux
journalistes.
Selon lui, il n’a pas encore été décidé si le retour des échantillons se ferait dans le cadre de la mission
Venera-D ou d’une suivante. Dans ce contexte, Dmitri Rogozine a fait remarquer qu’il aurait préféré une
mission nationale à une mission en coopération avec les États-Unis.
Les projets de missions d’exploration vers Vénus figurant dans le programme d’État des activités spatiales
de Russie pour 2021-2030 qui doit être approuvé d’ici la fin de l’année. Précédemment, le directeur de
Roscosmos a fait savoir que les experts de l’aérospatiale russe lui avaient soumis plusieurs options
d’acheminement des échantillons du sol de Vénus vers la Terre.
La prochaine mission vers Vénus est prévue pour 2027-2029: il s’agit du projet russo-américain VeneraD. toutefois, il n’a pas encore été financé par la Russie. Les scientifiques demandent plus de 17 milliards de
roubles (presque 191 millions d’euros) sur les 10 prochaines années pour mettre en œuvre la partie russe du
projet. La participation américaine est estimée à la même hauteur.
La découverte
Une équipe internationale de scientifiques a assuré avoir découvert la présence de phosphine, un gaz
incolore hautement toxique, dans l’atmosphère de Vénus, laissant supposer l’existence d’une éventuelle forme
de vie sur la planète. De nombreux spécialistes se montrent néanmoins sceptiques sur ces résultats.
En effet, l’importante quantité de phosphine détectée dans l’atmosphère de la planète ne peut pas
s’expliquer par des mécanismes physico-chimiques mais uniquement par l’intervention d’organismes vivants.
Partenariat avec l’Afrique: Sergueï Lavrov se livre dans une interview exclusive
18.09.2020 – Sputnik
Sputnik: Lors du sommet de Sotchi, plus de 90 contrats de coopération avec l’Afrique ont été signés.
À quel rythme la Russie revient-elle maintenant à l’exécution des accords signés après la pandémie? Lesquels
de ces projets sont prioritaires et dans quels pays africains?
Sergueï Lavrov: «Le sommet de Sotchi, qui s’est tenu en octobre de l’année dernière, a été un succès
évident de notre politique étrangère –c’est ce qu’ont rapporté tous nos invités africains. Je peux vous dire que
nous n’avons pas pris de pause, la pandémie a changé quelque peu le format des rencontres, mais nous
continuons en télétravail. Je vous assure que dans le monde diplomatique, c’est possible aussi. Le Président
Poutine a plusieurs fois eu des échanges téléphoniques avec les leaders africains (Afrique du Sud, Congo,
Éthiopie). Il y a également eu des vidéoconférences des MAE russe et de la Troïka africaine, qui est représentée
par l’actuel président de l’Union africaine, le précédent et le futur, c’est-à-dire l’Afrique du Sud, l’Égypte et la
République démocratique du Congo. Auprès de notre ministère, un secrétariat spécial a été créé. La décision
de fonder cet institut a été prise à Sotchi. Le secrétariat est au complet. Hier encore, j’ai rencontré un des
représentants sous-régionaux sur le continent, ancien chef de la diplomatie de l’Éthiopie, nous avons discuté les
plans de coopération de la Russie et de cette organisation. Nous sommes en contact avec la communauté de
l’Afrique du Sud et de l’Afrique de l’Ouest et avec toutes les organisations subrégionales, mais aussi avec
l’Union africaine elle-même, qui est une structure panafricaine.
Notre plan de travail consiste à résoudre les problèmes actuels sur le continent africain, les problèmes
sécuritaires. Il concerne également des événements dans le cadre culturel, de l’éducation, mais aussi des
questions de développement économique, le support –de notre part– au niveau des départements des affaires
étrangères, l’activité des entreprises russes en Afrique et leurs partenaires. Nous avons beaucoup de projets et
ce travail est très bien évalué par nos collègues africains.
En ce qui concerne la pandémie, un grand nombre de pays africains ont reçu notre aide sous forme de
tests, de masques, de médicaments, et cette coopération continue.
Les pays africains, mais aussi l’Asie et l’Amérique latine ont manifesté leur envie de produire sur leur
territoire notre vaccin Spoutnik V, et maintenant la Russie cherche des candidats potentiels pour mettre en place
ce type de production. Car il est clair qu’il y a besoin d’une grande quantité de ce vaccin. Nous avons acquis
une expérience importante en Guinée et en Sierra Leone avec Ebola. Nos médecins ont pu organiser un hôpital
mobile et ont mis en place la production du vaccin contre Ebola en Guinée. Par la suite, c’est ce qui a aidé nos
concepteurs à créer si vite un vaccin contre le coronavirus, en utilisant la plateforme contre Ebola.
Nous avons des projets qui tiennent la route, notamment augmenter les bourses pour les étudiants
africains. Il y a quelques semaines, nous avons pu créer une organisation de coopération économique entre la
Russie et l’Afrique, donc dès que les restrictions liées à la pandémie seront levées, tous ces plans vont se réaliser
encore plus vite. Pour le moment, nous restons en mode vidéoconférence.»
Sputnik: L’ambassade de Russie en Libye a repris ses activités il y a quelques semaines à peine. Pourrat-elle être, dans une mesure ou une autre, une plate-forme de dialogue entre l’Armée nationale libyenne et le
Gouvernement d’union nationale?
Sergueï Lavrov: Notre ambassade reste pour l’heure installée en Tunisie. Elle reprendra son travail à
Tripoli bientôt, je l’espère, dès que les conditions de sécurité élémentaire y auront été rétablies. Plusieurs
ambassades continuent de travailler à Tripoli où les conditions de sécurité sont encore très précaires.
En ce qui concerne la médiation entre l’Armée nationale libyenne et le Gouvernement d’union nationale,
c’est-à-dire les principaux protagonistes en Libye, notre ambassade entretient évidemment des contacts avec
toutes les parties libyennes. Mais, la question est beaucoup plus vaste et Moscou œuvre activement pour établir
des liens entre les parties au conflit. Notre ministère et celui de la Défense veulent contribuer aux mesures
concrètes prises pour trouver des compromis qui permettront de trouver une sortie de crise en Libye. C’est un
travail compliqué.
Je rappellerai que tous les problèmes auxquels la Libye est actuellement en prise ont commencé en 2011
lorsque l’Otan a lancé, au mépris du Conseil de sécurité de l’Onu, en violation flagrante de ses résolutions, une
agression armée directe contre la Libye en vue de renverser le régime de Mouammar Kadhafi, qui a été
sauvagement assassiné, comme vous le savez, sous les acclamations de la Secrétaire d’État américaine Hillary
Clinton, ce qui a été retransmis en direct non sans fierté. C’était horrible. Nous, c’est-à-dire tous les voisins de
la Libye et ceux qui cherchent à restaurer en tant qu’État la Libye détruite par l’Otan, nous essayons d’engager
un processus international. Il y a eu de multiples tentatives: les Conférences de Paris, de Palerme, d’Abou Dhabi.
Il y a eu les Accords de Skhirat signés en 2015, et ainsi de suite. La plupart des acteurs extérieurs ont cherché
pendant longtemps à coopérer avec une seule force politique, celle sur laquelle ils misaient. Nous avons dès le
début renoncé à une telle approche et, vu nos contacts et nos liens historiques, nous nous sommes mis à coopérer
avec toutes les forces politiques sans exception: que ce soit Tripoli où siègent le Conseil présidentiel et le
Gouvernement d’union nationale, que ce soit Tobrouk où siègent le Parlement, la Chambre des représentants.
Tous les leaders des différents groupes sont plus d’une fois venus en Russie. Nous avons déployé nos
efforts en vue d’organiser des rencontres entre le commandant de l’Armée nationale libyenne Khalifa Haftar et
le chef du Gouvernement d’union nationale Fayez el-Sarraj. Ils étaient à Moscou au début de cette année, à la
veille de la Conférence de Berlin. Nous avons réussi, en particulier grâce aux efforts que nous avons déployés
avec nos collègues turcs, égyptiens, émiratis, à élaborer des propositions qui ont assuré dans une grande mesure
le succès de la Conférence de Berlin. Nos collègues allemands avaient préparé cette conférence durant plusieurs
mois, et les délégués ont adopté une déclaration importante approuvée par la suite au Conseil de sécurité de
l’Onu. Lors de cette étape, on a malheureusement accordé peu d’attention à l’approbation par les parties
libyennes des propositions de la communauté internationale. Certains de nos partenaires étaient d’avis que dès
que la communauté internationale représentée par le Conseil de sécurité et à la Conférence de Berlin auraient
pris telle ou telle décision, il ne resterait qu’à convaincre les protagonistes libyens de l’accepter.
La réalité nous prouve que nous avons eu raison en mettant en garde contre une telle approche: les accords
trouvés à Berlin n’ont pas été finalisés par les parties libyennes. Berlin a posé en fait un bon fondement mais on
est contraint maintenant de finaliser les détails. Et, nous constatons, à ce stade, quelques avancées positives: le
chef du parlement de Tobrouk, Monsieur Saleh, et le chef du Gouvernement d’union nationale Fayez el-Sarraj,
ont pris position en faveur d’un cessez-le-feu, d’un armistice durable et, dans ce contexte, d’une reprise des
travaux, qui étaient menés au format 5+5 (c’est-à-dire du format pour la résolution des questions militaires), et
de la reprise des négociations sur les questions économiques (avant tout, sur la nécessité de parvenir à une
résolution équitable du problème de l’exploitation des ressources naturelles libyennes).
Dans ce contexte, Monsieur Saleh a pris l’initiative très importante d’insister sur la nécessité de prendre
en compte les intérêts non seulement de la Tripolitaine et de la Cyrénaïque, mais aussi du Fezzan, la partie
méridionale de la Libye, rarement mentionnée au cours des discussions précédentes. C’est pourquoi ces
propositions, qui ont été discutées lors des contacts entre les parties, sont désormais sur la table. La rencontre
entre les protagonistes libyens qui a été organisée au Maroc a joué un rôle non négligeable. Nos collègues et
nous continuons de contribuer aux efforts communs. Il y a quelques jours à peine, des consultations avec nos
collègues turcs ont eu lieu. Nous continuons à travailler, nous sommes en contact avec l’Égypte et le Maroc.
J’ai eu des conversations téléphoniques avec mes homologues marocain et égyptien. J’ai récemment été en
contact avec le ministre italien des Affaires étrangères qui, pour des raisons évidentes, souhaite œuvrer au
règlement de la question libyenne. Je pense qu’aujourd’hui s’ouvrent à nous des perspectives prometteuses.
Nous devons apporter notre soutien actif à ce processus, contribuer au règlement de cette question. Je considère
qu’il est primordial de mettre fin le plus rapidement possible à cette pause qui a duré plus de 6 mois en nommant
un représentant spécial du Secrétaire général de l’Onu pour le règlement de la question libyenne. Le représentant
en poste a démissionné en février dernier. Antonio Guterres ne parvient pas depuis, pour une raison ou pour une
autre, à lui trouver un successeur.
Il y a des raisons de penser que certains pays occidentaux essaient de placer leur candidat. Mais notre
position est très claire: il faut que le représentant du Sécrétaire général pour la Libye soit nommé avec l’accord
de l’Union africaine. C’est tout à fait évident. La Libye est un membre actif de l’Union africaine. Et l’Union
africaine a plus qu’intérêt à ce que ce problème soit résolu. Je vous ai exposé la situation actuelle de façon
relativement détaillée. Nous faisons preuve d’un optimisme prudent.
La Russie compte installer sa propre station 5G en 2023, sans aide extérieure
18.09.2020 – Sputnik
Dans une interview accordée à Sputnik, le service de presse de l’Organisation non commerciale
autonome «Économie numérique» avance qu’une station de base 5G de fabrication locale devrait être
déployée en Russie en 2023. Les développeurs travaillent actuellement sur la préparation d’un prototype,
dont la mise en œuvre est prévue en novembre.
Le service de presse de l’Organisation non commerciale autonome «Économie numérique» a confié à
Sputnik qu’une station de base de réseau 5G arrivera en Russie en 2023.
Selon la source, les tests d’un prototype commenceront en novembre.
«La création d’une station 5G est prévue pour 2021-2022. Et en 2023, il est prévu de lancer sa
production», a déclaré le service de presse.
Dans ce processus, le centre de recherche de premier plan «Systèmes de communication mondiaux sans
fil» joue le rôle de développeur d’équipement et prévoit de créer une société-fournisseur innovante russe pour
les réseaux de communication 4G et 5G.
Selon la source, la conception d’une station expérimentale a déjà été développée, et la prochaine étape
sera la réalisation du prototype dont la mise en œuvre est prévue à l’aide d’un signal électrique d’une fréquence
allant jusqu’à 4,2 GHz comme les plus courantes et les plus prometteuses dans le monde pour le déploiement
du réseau 5G.
L’OMS dit apprécier les efforts de la Russie pour développer le vaccin Spoutnik V
21.09.2020 – Sputnik
L’Organisation mondiale de la santé est reconnaissante à la Russie pour le développement de son
vaccin contre le coronavirus, a annoncé le directeur régional de l’OMS pour l’Europe, Hans Kluge, au terme
d’une rencontre avec le ministre russe de la Santé.
Le directeur régional de l’OMS pour l’Europe, Hans Kluge, a salué la création par la Russie du Spoutnik
V, le premier vaccin au monde contre le Covid-19.
«L’OMS apprécie les efforts que la Russie a déployés pour développer le vaccin contre le Covid-19, c’està-dire le Spoutnik V. Je veux remercier encore une fois la Russie pour ses excellentes activités visant à créer
un vaccin sûr et efficace», a-t-il dit à la fin d’une rencontre avec le ministre russe de la Santé, Mikhail
Murashko.
«Désormais, la Russie a commencé la troisième phase de test du vaccin. Lorsque la sécurité et l’efficacité
de celui-ci seront testées sur un très grand groupe de personnes, je suis sûr que ces résultats seront positifs.
[…]Je travaille en Russie depuis de nombreuses années, je sais que ce pays a une histoire très riche dans le
développement de vaccins et leur production, ainsi que pour la vaccination», a-t-il ajouté.
Premier au monde
Conçu en Russie et enregistré le 11 août, le Spoutnik V est le premier à avoir été mis au point au monde.
La molécule a été élaborée par le Centre scientifique d’épidémiologie et de microbiologie Gamaleïa de Moscou
et le Fonds d’investissements directs de Russie (RFPI).
Le directeur du RFPI Kirill Dmitriev avait auparavant indiqué que le Fonds avait reçu des demandes de
la part de plus de 20 pays pour un achat total d’un milliard de doses. D’après lui, la Russie a convenu de produire
le vaccin dans cinq pays. Il estime que la capacité de production disponible permet d’atteindre les 500 millions
de doses par an.
«Une croissance vertigineuse»: Bloomberg reconnaît la domination de la Russie sur le marché
mondial du blé
24.09.2020 – Sputnik
Ces dernières années, la Russie ne cesse d’augmenter sa part sur le marché mondial du blé et s’efforce
de renforcer son leadership, écrit Bloomberg. Plus de 100 pays, de l’Égypte aux Philippines, figurent parmi
ses acheteurs.
En 20 ans, la Russie est passée du statut d’importateur de blé à exportateur avec une part de 20% des
approvisionnements mondiaux, «ses sols fertiles générant des récoltes plus importantes à des prix attractifs»,
affirme Bloomberg dans son article du 23 septembre.
«Une croissance vertigineuse»
Plus d’une centaine de pays achètent du blé russe, dont l’Égypte, les Philippines et l’Arabie saoudite. La
semaine dernière, l’Algérie a «donné son feu vert» aux céréales en provenance de Russie, indique l’article.
«On peut observer une croissance vertigineuse dans la production ainsi que dans l’exportation de la
Russie. La Russie a investi massivement pour augmenter sa part de marché et elle ne cesse de croître», souligne
auprès de Bloomberg James Bolesworth, directeur de l’entreprise basée au Royaume-Uni CRM
AgriCommodities, principal fournisseur indépendant de conseils et de stratégies de négociation pour des
acheteurs et vendeurs de produits agricoles.
Cependant, la Russie pourrait faire face dans les mois à venir à la concurrence du Canada et de l’Australie
où les récoltes sont en hausse, tempère Bloomberg.
Progrès des agriculteurs russes
L’article évoque également le progrès considérable des agriculteurs russes. Ils ont utilisé leurs revenus
croissants pour acheter des engrais et des équipements de qualité supérieure afin de stimuler la production. En
outre, ils ont augmenté la capacité de stockage des céréales pour mieux contrôler les prix.
«Leurs récoltes sont si bonnes qu’ils ouvrent de nouveaux marchés d’année en année», souligne Georgi
Slavov, responsable de la recherche fondamentale dans la société de courtier britannique d’instruments
financiers Marex Spectron basée à Londres.
Moscou réagit aux tensions dans le Haut-Karabakh
27.09.2020 – Sputnik
En réaction aux tensions qui ont éclaté ce 27 septembre dans le Haut-Karabakh, république
autoproclamée du Caucase, Moscou a appelé les parties en conflit à cesser immédiatement le feu et à
entamer des négociations visant à stabiliser la situation.
Suite aux tirs qui ont éclaté ce 27 septembre dans le Haut-Karabakh, république autoproclamée située
dans le Caucase, le ministère russe des Affaires étrangères exhorte les parties en conflit à cesser leurs actions
militaires et à négocier.
«Selon nos informations, la situation s’est rapidement détériorée dans la zone du conflit du HautKarabakh. Des tirs intenses éclatent le long de la ligne de contact des deux côtés. Il y a des victimes», indique
un communiqué publié sur le site internet de la diplomatie russe.
«Nous appelons les parties à cesser immédiatement le feu et à lancer des pourparlers afin de stabiliser la
situation», souligne la publication.
Lors d’une conversation téléphonique avec son homologue arménien, Sergueï Lavrov s’est dit préoccupé
par le prolongement des actions militaires dans la région. Il a souligné la disponibilité de Moscou pour agir en
tant qu’intermédiaire afin de stabiliser la situation.
La nécessité de cesser le feu dans les meilleurs délais a été particulièrement mise en valeur par le chef de
la diplomatie russe.
Déroulement des tensions
Après que de nouveaux affrontements ont éclaté entre les parties azerbaïdjanaise et arménienne dans la
région du Haut-Karabakh dans la matinée du 27 septembre, le Président de cette république autoproclamée a
décrété la loi martiale et la mobilisation générale, selon son porte-parole.
Des localités pacifiques et la capitale Stepanakert ont été pilonnées par des tirs d’artillerie de la partie
azerbaïdjanaise, a rapporté le porte-parole du Président du Haut-Karabakh. Des morts et des blessés parmi la
population civile ont été signalés par un médiateur de la région.
L’Arménie a déclaré avoir abattu deux hélicoptères et trois drones azerbaïdjanais. La Défense arménienne
a ensuite indiqué que les combats se poursuivaient.
Une «contre-offensive» a été lancée, selon le ministère azerbaïdjanais de la Défense.
Conflit qui dure depuis des années
Principalement peuplés d’Arméniens, cette région autonome avait annoncé en 1988 son intention de se
séparer de l’Azerbaïdjan qui faisait alors partie de l’URSS. À l’époque, les hostilités avaient fait près de 15.000
morts dans le Haut-Karabakh.
Depuis 1992, le règlement pacifique du conflit fait l’objet de négociations menées dans le cadre du Groupe
de Minsk de l’OSCE coprésidé par les États-Unis, la Russie et la France. Le premier cessez-le-feu a été conclu
en 1994. Après que les parties se sont mutuellement accusées d’avoir lancé des offensives en avril 2016, de
violents combats avaient déjà eu lieu.

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