Brazzaville, 20 janvier (ACI) – Le Club jeunesse infrastructures et développement (Cjid) et l’Ong Essor ont procédé, le 19 janvier à Brazzaville, à l’ouverture officielle d’un Bureau d’information et d’orientation sociale et professionnelle (Biosp+), dans l’arrondissement 6, Talangaï, en vue d’œuvrer pour la formation et l’employabilité des jeunes.
Porté par le Cjid, en partenariat avec l’Ong Essor, le Biosp+ a été ouvert dans le cadre de la mise en œuvre des projets de Formation et d’insertion professionnelle (Fip) et de Protection sociale (Ps) de ladite Ong à Brazzaville.
Le Biosp+ a plusieurs objectifs, parmi lesquels informer et orienter les jeunes vers les services qui peuvent répondre à leurs besoins, sensibiliser les communautés et le public sur leurs droits et devoirs, ainsi qu’à identifier et faire remonter les besoins de la population aux autorités.
Dans son mot de circonstance, le délégué général du Cjid, M. Merols Diabankana-Diabs, a indiqué que le consortium Essor-Cjid qui gère le Biosp+ a une conduite efficiente des activités basées sur l’utilisation rationnelle et rentable des moyens humains et financiers disponibles, et inscrit ses actions dans une perspective de pérennité/durabilité.
« Nos méthodes d’intervention sur le terrain se fondent sur les réponses participatives et s’acclimatent à chaque contexte et à chaque situation que nous pourrons porter plus loin et plus haut ce projet associatif, social et solidaire », a-t-il dit.
Pour le coordonnateur des projets Fip, M. Brave Nkaya, la mise en place du Biosp+ est nécessaire parce qu’elle permettra de soutenir les services publics qui ne parviennent pas à identifier les besoins réels des populations vivant dans les quartiers les plus vulnérables.
L’Ong Essor et le Cjid ont concrétisé leur partenariat en 2016, avec la mise en place de plusieurs projets, dont ceux relatifs à la Formation insertion professionnelle (Fip-action), et à la Promotion de l’entrepreneuriat agricole, para-agricole et urbain auprès des jeunes et de renforcement de la société civile congolaise (Emateli), rappelle-t-on. (ACI/Grace Dinzebi)
