Brazzaville, 29 Juin (ACI) – Le nouveau chef de la section communication et partenariat du Fonds des nations unies pour l’enfance (Unicef) au Congo, M. Gauthier Feran, a appelé le 29 juin à Brazzaville, les médias nationaux à accompagner cette institution dans la protection, la promotion et la vulgarisation des droits de l’enfant au Congo, en vue de freiner les actes de violence à l’endroit des enfants.
M. Gauthier Feran a lancé cet appel lors d’une séance de travail avec la presse nationale, dont l’objectif était de continuer la collaboration avec les médias du Congo. A cette occasion, il a invité ces médias à renforcer le partenariat avec l’institution onusienne dont les missions dans le pays consistent à œuvrer pour l’amélioration des conditions de vie des enfants.
Selon lui, l’Unicef fait un travail important pour les droits de l’enfant dans le domaine de l’éducation, de la protection, de la santé et de la nutrition, c’est un travail qui ne peut se faire seul. « Dans ce cadre, les médias congolais sont des partenaires clés pour que tous puissions améliorer les conditions de vie et renforcer les droits des enfants au Congo », a-t-il souligné.
Les médias doivent être des relayeurs du combat à mener dans la réalisation de tous les projets liés à la protection des enfants, a-t-il dit.
Intervenant à cette occasion, le directeur des Etudes et de la planification au ministère de la communication et des médias, M. Gerba Brunel Assiana Anapoly, a dit que le but de cette séance de travail était celui d’essayer d’avoir une vue sur tous les ateliers, les travaux qui ont été amorcés en amont dans le cadre des droits de l’enfant, afin que la réalisation des projets y relatifs apporte des résultats favorables sur la protection de l’enfant au Congo.
A son avis, le ministère va essayer de créer un cadre qui sera élaboré par tous les membres du comité d’organisation regroupant les professionnels des médias et les experts de l’Unicef autour des projets liés aux droits des enfants quoi, s’assurer de leur mise en œuvre puis évaluer conjointement leur niveau d’exécution afin d’atteindre les résultats attendus. (ACI/ Edouard MANGONGO)
